quinta-feira, 28 de janeiro de 2010

Astronomia

EUROPEUS DETECTAM PODEROSO FEIXE DE RAIOS GAMA VINDO DO ESPAÇO

Intensidade da descarga, provavelmente lançada pela interação entre estrela e buraco negro, é 100 mil vezes maior que outras conhecidas

Uma equipe de astrônomos europeus anunciou a descoberta de um feixe de altíssima energia chegado do espaço e que percorre nosso planeta com a regularidade de um farol, mas com uma intensidade 100 mil vezes maior do que o mais poderoso já observado até então.

Essa radiação gama é emitida por um sistema binário, chamado LS 5039, formado por uma estrela 20 vezes maior do que o nosso Sol e um companheiro muito compacto, que pode ser um buraco negro ou uma estrela de nêutrons.

Desde os anos 1960 se conhece a existência de sinais modulados provenientes dos confins do Universo que, durante certo tempo, foram associados a uma tentativa de comunicação por parte de hipotéticos extraterrestres.

Esse sinal é emitido geralmente por uma estrela anã que gira muito rapidamente em torno de si mesma, o pulsar, emitindo fluxos de partículas eletromagnéticas oriundos de seus pólos. Como a estrela gira sobre si mesma, este feixe de energia percorre o espaço do facho de farol e pode ser captado na Terra com uma freqüência regular.

Dos mil pulsares registrados até agora, dez deles emitem a faixa de raios gama, os mais energéticos, explicou Guillaume Dubus, do Laboratório de Astrofísica do Observatório de Grenoble. Mas nenhum se parece com a radiação do LS 5039.

A modulação do sinal dos pulsares está compreendida entre alguns segundos e alguns milissegundos. A modulação do sinal emitido pelo dLS 5039 é de 3,9 dias. A energia produzida assim é inédita e os cientistas ainda buscam hipóteses para explicar sua origem.

O LS 5039 é em si mesmo um conjunto muito excepcional, pois o buraco negro (ou a estrela de nêutrons) dá voltas em torno de seu companheiro a uma distância que não supera um quinto ou dois quintos da distância entre a Terra e o Sol.

Para o dr. Dubus, "a luz gama emitida pelo objeto compacto pode ser absorvida pela luz de seu companheiro", como a luz de uma lanterna na neblina.

Vista da Terra, a radiação gama dá a impressão de acender e apagar com uma assombrosa regularidade, correspondente às fases em que o corpo mais compacto se encontra "atrás" de seu imponente acompanhante.

Essa descoberta foi feita pelo observatório Hess (High Energy Stereoscopic System), instalado na Namíbia. Fruto de uma iniciativa franco-alemã, esse instrumento permitiu à pesquisa européia um importante avanço sobre os americanos no terreno da astrofísica das altas energias.

Os quatro telescópios do Hess varrem o céu para detectar os feixes de luz azulada emitidos quando partículas de energia muito alta vão se chocar contra as camadas superiores da atmosfera.

Ao serem analisados, podem constituir mapas do céu visto com energias 100 bilhões de vezes mais elevadas que a luz visível. O Hess permitiu que fossem descobertas mais de 40 fontes de radiação de alta energia, enquanto que eram conhecidas apenas dez delas antes de sua colocação em serviço.

Vida



Statistiquement, il y a toutes les chances que la vie existe ailleurs que sur Terre, même s'il est encore très difficile de dire sous quelle forme, selon une conférence scientifique lundi à Londres.

"Il n'y a pas de preuve formelle que la vie existe ailleurs, mais il y a une très bonne probabilité pour que ce soit le cas", estime Baruch Blumberg, astrobiologiste au Fox Chance Cancer Center à Philadelphie.

"J'ai la conviction que les générations actuelles ont d'excellentes chances d'assister de leur vivant à la détection d'une vie extra-terrestre", affirme Martin Dominik, astronome à l'Université de St. Andrews, en Ecosse.

La vie a peut être démarré sur Terre grâce à des molécules de carbone et des poussières arrivées depuis l'espace interstellaire, rappelle de son côté Pascale Ehrenfreund, astrochimiste à la George Washington University, dans la capitale américaine.

S'il en est ainsi, "les premières briques de la vie - telles que nous les avons mises en évidence pour la Terre, devraient être répandues dans d'autres systèmes planétaires de la Voie lactée et dans d'autres galaxies", suggère cette scientifique.

La Royal Society britannique, l'un des berceaux de la science moderne, a pris le sujet suffisamment au sérieux pour y consacrer un colloque de deux jours à l'occasion de son 350ème anniversaire.

Il s'agissait moins de donner une réponse définitive à l'existence ou non des extra-terrestres que de dresser un tableau de notre quête d'une autre vie, et de s'interroger sur l'impact sur l'humanité d'une telle découverte.

Le président de la Royal Society, Lord Rees, a souligné qu'il fallait pour l'heure admettre notre ignorance. "Nous ne savons même pas comment la vie est apparue sur Terre, et encore moins s'il faut penser qu'elle est répandue ou non (ailleurs), ni où nous devons la chercher", a-t-il déclaré dans un entretien.

Grâce à des outils d'observation de plus en plus perfectionnés, notamment au télescope spatial Hubble, les astronomes ont détecté depuis 1995 plus de 400 exoplanètes, extérieures à notre système solaire.

L'une de ces planètes pourrait potentiellement héberger la vie, mais aucune bénéficiant des conditions favorables de notre planète bleue n'a encore été découverte à ce jour.

La Terre se trouve en effet à une distance suffisante mais pas trop éloignée du Soleil pour que de l'eau puisse s'y trouver en abondance sous forme liquide.

Si des formes de vie existent ailleurs que sur Terre, il est peu probable que celles-ci soient proches de ce que montrent les films de science-fiction, dont les créatures ressemblent invariablement au genre humain.

Pour Albert Harrison, psychologue à l'université de Californie à Davis, il est plus probable que la première vie extra-terrestre détectée soit de taille microscopique.

A l'intérieur même de notre système solaire, des bactéries pourraient être décelées dans le sous-sol de Mars, sur le satellite de Jupiter Europa ou encore sur une lune de Saturne, Encelade. Ces deux derniers astres pourraient en effet héberger des océans sous d'épaisses calottes de glace.

D'autres scientifiques pensent toutefois que l'apparition de la vie relève d'un concours de circonstances qui n'est pas prêt de se reproduire.

"A mon avis, l'origine de la vie est un pur coup de chance", a déclaré Simon Conway Morris, professeur de paléobiologie à l'Université de Cambridge.

"Je crains que nous soyons complètement seuls... Qu'il n'y ait rien du tout là-bas", explique ce scientifique.

Et si des extraterrestres venaient à nous contacter, rien ne dit qu'ils auraient les doux yeux d'E.T, le charmant extraterrestre du film de Steven Spielberg: il pourraient tout aussi bien être "agressifs et déplaisants", remarque-t-il.

Correr descalço

Les sportifs qui courent pieds nus ou avec des semelles très fines posent en général leur pied sur le sol de manière beaucoup plus progressive que les coureurs chaussés et ménagent ainsi leur corps, selon une étude publiée mercredi dans la revue Nature.

Les coureurs sans chaussures ont l'habitude de poser en premier l'avant du pied. Et même ceux qui posent directement le plat ou le talon amortissent davantage l'impact avec leurs articulations que les sportifs équipés de chaussures de course, a constaté l'équipe de chercheurs issus d'universités américaines, kenyane et britannique.

Si, aujourd'hui, courir chaussé sur de longues distances est beaucoup plus fréquent, il n'en a pas toujours été ainsi.

"Le genre humain pratique la course de fond depuis des millions d'années, mais la chaussure de course moderne n'a été inventée que dans les années 1970", relèvent les chercheurs qui ont étudié la foulée de personnes courant au moins 20 km par semaine, les unes chaussées, les autres non, aux Etats-unis et en Afrique de l'Est, région d'où sont issus de nombreux coureurs de fond.

En 1960, l'Ethiopien Abebe Bikila remportait pieds nus le marathon des jeux Olympiques de Rome, après avoir échoué à trouver chaussure à son pied...

Bien à l'abri dans leurs chaussures de sport molletonnées, les trois quarts des joggeurs modernes encaissent pourtant à chaque foulée deux à trois fois leur poids lorsque leurs talons entrent en contact avec le sol.

Cette action étant répétée 600 fois par kilomètre, elle finit par provoquer des lésions chez 30% à 75% des personnes qui pratiquent régulièrement la course à pied.

Aussi, les bienfaits des chaussures assurant "protection et maintien du pied" sont-ils désormais contestés, et les fabricants commencent déjà à mettre sur le marché des modèles minimalistes.

"Les gens qui courent déchaussés ont une foulée très différente. En atterrissant sur le milieu ou sur l'avant du pied, ils n'encaissent pratiquement pas de choc" lorsqu'ils entrent en contact avec le sol, explique Daniel Lieberman, du département de Biologie de l'Evolution humaine à l'université de Harvard (Etats-Unis).

Chez le coureur qui atterrit avec l'avant du pied, "les muscles du mollet contrôlent l'abaissement du talon, et il peut pleinement tirer parti d'un stockage d'énergie élastique dans le tendon d'Achille et la voûte plantaire", détaille de son côté dans un commentaire également publié par Nature William Jungers, du CHU de Stony Brook, à New-York.

Pour autant, il ne sera pas aisé de changer d'habitude. "Courir pieds nus ou dans des chaussures minimales est amusant mais fait appel à des muscles différents", précise M. Lieberman. "Si vous avez utilisé le talon toute votre vie, il faut opérer une transition douce afin de renforcer les muscles de vos mollets et de vos pieds", met en garde ce scientifique.

iPad

Apple a semblé commettre une rare gaffe marketing en baptisant sa nouvelle tablette informatique "iPad", qui à l'oreille des femmes anglophones fait immanquablement penser à des serviettes hygiéniques ("pad").

Du coup, par dérision, le mot "iTampon" est rapidement devenu le troisième sujet le plus discuté sur le site de microblogs Twitter après la fin de la présentation du patron d'Apple, Steve Jobs, donnnant lieu à d'innombrables commentaires plus ou moins grivois.

Parmi les moins salaces: "je me demande s'il a des ailettes?" ou encore "on peut faire plein de choses avec l'iTampon qu'on ne peut pas faire avec l'iPad, comme monter à cheval, faire du vélo ou nager"...

Carne de cão, carne de gato

Les Chinois pourraient se voir privés prochainement de viande de chat ou de chien si les députés votent un projet de loi contre les mauvais traitements aux animaux, a annoncé mardi un quotidien régional.

La consommation de viande de chat ou de chien, répandue dans le pays car elle est censée favoriser une bonne température corporelle, pourrait valoir aux Chinois une amende de 5.000 yuans (500 euros) et jusqu'à 15 jours de prison, a rapporté le Chongqing Evening News.

Les "organisations" impliquées dans cette pratique ancestrale pourraient se voir infliger des amendes de 10.000 à 50.000 yuans, aux termes du projet de loi à l'étude depuis un an.

La cruauté envers les animaux et la consommation de chats et chiens restent largement répandues en Chine en dépit de l'arrivée de plus en plus d'animaux domestiques dans les foyers.

Des restaurants proposent de la "viande parfumée", autrement dit du chien, dans tout le pays et le chat est largement consommé dans le sud de la Chine.

Avatar, montanha



Une ville du centre de la Chine a rebaptisé l'une de ses montagnes du nom de la superproduction américaine à succès "Avatar", retiré des écrans du pays dans sa version 2D.

Ce sommet majestueux dans la province du Hunan, connu jusqu'à présent comme "le pilier du ciel et de la terre", a été officiellement nommé "Montagne Alléluia Avatar", a annoncé la municipalité de Zhangjiajie dans un communiqué.

Le sommet aurait inspiré une montagne flottante qui apparaît dans le film de James Cameron, explique le texte.

Selon un journal local, un photographe serait venu directement de Hollywood en décembre 2008 pour prendre des photographies utilisées ensuite dans le film.

Depuis sa sortie début janvier, "Avatar" a battu en Chine le record du box-office, avec 80 millions de dollars de recettes, mais les autorités ont provoqué une polémique en décidant de retirer prématurément la version 2D des salles pour laisser la place au film "Confucius".

La décision des autorités de Zhangjiajie s'explique par leur volonté d'attirer les touristes avant le Nouvel an lunaire, grande période de vacances et de retrouvailles familiales, qui tombe cette année le 14 février.

La montagne appartient au site de Wulingyuan, classé au patrimoine mondial de l'Unesco et réputé pour ses pics et piliers de grès.

segunda-feira, 25 de janeiro de 2010

Pandemia

Responsável europeu denuncia falsa pandemia
Hoje às 07:12

O presidente da Comissão de Saúde da Assembleia Parlamentar do Conselho da Europa encara a gripe A como uma falsa pandemia e diz que este é um dos maiores escândalos médicos do século.

No dia em que o Conselho da Europa discute o modo como a Organização Mundial de Saúde (OMS) enfrentou a gripe A, o presidente da Comissão de Saúde da Assembleia Parlamentar do Conselho da Europa lança duras críticas ao que aconteceu e garante que o mundo nunca esteve confrontado com uma pandemia.

O diagnóstico era falso e custou muito dinheiro. Só na Europa, foram gastos 5 mil milhões de euros com as vacinas para a gripe A.

Um negócio para a indústria farmacêutica, que Wolfand Wodarg considera escândaloso.

Este médico alemão, especialista em epidemiologia, afirma que as pessoas perderam a confiança na OMS e que este caso deve ser agora investigado pelo Conselho da Europa.

Wolfgang Wodarg critica o alarme desnecessário, lançado pela OMS, considerando que se ficar provado que houve manipulação é preciso tirar as devias lições.

Ouvida pela TSF, Maria de Belém Roseira diz que, até hoje, nada prova que estas acusações tenham razão de ser, admitindo, no entanto, que houve vários países que demonstraram alguma falta de bom senso na compra das vacinas.

Mas, em Portugal, há também quem partilhe das críticas do presidente da Comissão de Saúde do conselho da Europa.

É o caso de António Vaz Carneiro, professor na Faculdade de Medicina da Universidade de Lisboa, embora afirme compreender a reacção dos vários governos, em função do que foi dito pela OMS, fala num falso alarme que não justificava as medidas que foram adoptadas.

Até hoje, a pandemia de gripe A matou cerca de 13 mil pessoas em todo o mundo, 94 em Portugal.

TSF

sábado, 16 de janeiro de 2010

linhas

 
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Saúde

Saúde

Cientistas portugueses conseguem avanço contra o cancro


Uma colaboração entre as universidades do Minho e da Califórnia identificou um gene que quando hiperactivo torna os tumores cerebrais mais malignos, uma descoberta que abre a possibilidade de criação de novos fármacos contra o cancro

A descoberta foi hoje publicada no Journal Cancer Research. Em declarações à Lusa, um dos investigadores, Bruno Costa, explicou que foi estudado um conjunto de genes «muito importantes durante o desenvolvimento embrionário e que se encontram alterados em alguns tipos de tumores».

Até agora, no caso dos tumores cerebrais, a única coisa que se sabia era que alguns desses genes estavam «sobre-expressos», ou seja, estavam activos, ao contrário do que acontece num cérebro normal (sem tumores).

Nesta investigação conseguiu-se mostrar que o gene HOXA9 quando «sobre-expresso» (ou hiperactivo) faz prever que os pacientes vão ter um «prognóstico pior relativamente aos outros pacientes com o mesmo tipo de tumor».

Nesta fase da investigação, está apenas a ser melhorada a capacidade de prever as respostas dos pacientes.

Mas «claro que este é sempre o primeiro passo também para a identificação destes alvos moleculares para o desenvolvimento de novas terapias», acrescentou Bruno Costa.

Neste caso de tumores mais malignos e mais agressivos e que fazem com que os pacientes morram mais cedo, poderão ser desenvolvidos fármacos específicos para inibir essa actividade, disse.

Os investigadores também decifraram o mecanismo responsável por essa sobre-activação do gene, que é por via da proteína PI3K, que é uma via «muito frequentemente alterada em diversos tipos de tumores humanos».

Assim, através das identificações do gene associado ao pior prognóstico e do mecanismo, podem-se conseguir outros alvos terapêuticos contra o PI3K.

Se inibida a sua função, também haverá inibição da sobre-activação do HOXA9 e, consequentemente, os tumores poderão tornar-se menos malignos.

O trabalho resultou de uma colaboração entre uma equipa do Instituto de Investigação em Ciências da Vida e Saúde, da Universidade do Minho, através de Bruno Costa e Rui Reis, e uma equipa da Universidade da Califórnia (EUA).

Lusa / SOL

quarta-feira, 13 de janeiro de 2010

Aves e migração


Recorde
Migração de 70 mil km entre pólos

por SUSANA SALVADORHoje
Migração de 70 mil km entre pólos

Nos seus 34 anos de vida, a pequena gaivina do Árctico faz o equivalente a três viagens de ida e volta à Lua.

Mede entre 33 e 38 centímetros de comprimento e pesa pouco mais de cem gramas, mas é a campeã das migrações. Todos os anos, a gaivina do Árctico (ou andorinha-do-mar-árctica) faz uma viagem de 70 mil km entre o Pólo Norte , o local de nidificação, e o Pólo Sul. Na sua rota, sempre à procura do Verão, esta ave faz o equivalente a três viagens de ida e volta à Lua (cerca de dois milhões de km) durante os seus 34 anos de vida.

A longa aventura de norte a sul da Sterna paradisaea foi detalhada graças à monitorização de 11 espécimes, apetrechados com um dispositivo mais pequeno que um fósforo (ver caixa). Os resultados foram publicados ontem na revista científica Proceedings of the National Academy of Sciences.

A viagem começa em Agosto ou Setembro, com a gaivina do Árctico a deixar a Gronelândia para chegar ao mar de Weddel, na costa da Antárctida. Aí passa entre quatro e cinco meses, antes de regressar novamente ao Norte, chegando a casa em Maio ou Junho.

O estudo permitiu descobrir que o caminho não é directo. Começam por fazer uma longa paragem no meio do Atlântico Norte, a mil quilómetros dos Açores. Aí alimentam-se de zooplâncton e peixe, ganhando forças para o resto da viagem. Seguem depois pela costa europeia e africana até Cabo Verde, onde podem optar por dois caminhos: continuar junto a África ou atravessar o Atlântico e fazer depois a costa brasileira. Os cientistas acreditam que o vento pode desempenhar um papel importante nesta escolha. A viagem para Sul é de 34 600 km e as aves fazem 330 km por dia. O regresso é mais rápido (25 700 km, 520 km por dia), apesar de as gaivinas do Árctico não seguirem o caminho mais rápido. Optam antes por fazer um grande "S" pelo meio do oceano, aproveitando os ventos favoráveis.

"É um feito impressionante para uma ave que pesa pouco mais de cem gramas", disse Carsten Egebang, do Instituto de Recursos Naturais da Gronelândia, o principal autor do estudo que conta ainda com cientistas da Dinamarca, dos EUA, do Reino Unido e da Islândia. "A nossa análise mostra que o comportamento das aves está directamente relacionado com parâmetros biológicos e físicos", indicou, lembrando que a "pausa" no Atlântico Norte é feita em áreas altamente produtivas. Um pouco mais a sul e não haveria comida suficiente.

sábado, 9 de janeiro de 2010

quarta-feira, 6 de janeiro de 2010

Ciência

Ciência
Telescópio espacial Kepler encontrou cinco planetas fora do sistema solar

PÚBLICO

O telescópio espacial norte-americano Kepler, enviado para o espaço a 6 de Março de 2009, encontrou os seus cinco primeiros planetas fora do sistema solar, foi ontem anunciado pela Sociedade americana de Astronomia, em Washington.

Os planetas – com tamanhos que variam entre uma dimensão semelhante a Neptuno e uma maior que Júpiter - foram chamados Kepler 4b, 5b, 6b, 7b e 8b e a sua descoberta resulta de cerca de seis semanas de recolha de dados desde que as operações científicas começaram, a 12 de Maio de 2009. Estes juntam-se aos 415 exo-planetas já detectados graças a outros telescópios desde 1995.

No entanto, são todos demasiado quentes para albergar vida, salientam os responsáveis pela missão. As temperaturas estimadas nos exo-planetas variam entre os 1200 e os 1648 graus Célsius.

“Estas observações ajudam-nos a compreender melhor como se formam e evoluem os sistemas planetários”, comentou William Borucki, do centro de investigações Ames da NASA (agência espacial norte-americana) e responsável principal pela equipa científica do Kepler.

“Estas descobertas também mostram que este instrumento científico está a trabalhar bem. Temos indicações de que o Kepler vai cumprir todos os seus objectivos”, acrescentou Borucki.

Jon Morse, director da divisão de Astrofísica da NASA, acredita que não faltará muito para o telescópio encontrar planetas mais pequenos com órbitas mais longas, “aproximando-se da descoberta do primeiro planeta análogo à Terra”.

Kepler foi lançado em Março do ano passado da base de Cabo Canaveral, Florida. Desde então, a missão observa de forma contínua e simultânea mais de 150 mil estrelas.

O telescópio, com um fotómetro que permite medir as intensidades luminosas, vai continuar a operar até, pelo menos, Novembro de 2012.

terça-feira, 5 de janeiro de 2010